Une sinistre trinité décime l’Afrique : la sécheresse, la famine et la guerre. Cette trinité est servie dans sa besogne par sa choix politico-économiques à tous les égards discutables. L’Afrique, ce vaste continent aux immenses richesses est malade de son climat capricieux, de ces régimes corrompus et de ses économies sous perfusion.
Des zones comme l’Afrique Australie, jadis épargnées par la sécheresse et l’excédentaires en produits vivriers tendent la sébile pour disposer de l’aide alimentaire mondiale. Comme vous le savez en Afrique australe la sécheresse se combine avec les guerres civiles pour ravager des contrées entières. Comme en Ethiopie c’est des millions de personnes qui sont sous la coupe de la famine et de la malnutrition. Au total dans cette partie du continent c’est des millions de personnes qu’il faut secourir d’urgences. La somalie quant à elle est lustration la plus pathétique des horreurs qu’on observe sur le continent, où la guerre civile qui perdure depuis plus de 20ans de complique le travail des organisations humanitaires, le nombre de personnes qui ont besoin d’une aide d’urgence est passé environ de 2,4 million à 3,7 millions ces dernières années. Chaque jour qui passe est une héroïque victoire que l’homme remporte sur les forces maléfiques que sont : la guerre, la sécheresse et la faim. Cette crise est aggravée par certain cas de maladie tel que le paludisme, la bilharziose et ces dernière année cette partie de l’Afrique a connu la fièvre Ebola qui a fait 6.533 morts sur un total 18.118 infections recensées dans les pays les plus touchés d’Afrique de l’Ouest, selon(OMS).
Cette combinaison de la famine et des maladies donne la vacance du pouvoir est la déstructuration intégrale des circuits d’approvisionnement dans certaines zones en Afrique. Ces zones atteintes ont globalement un immense potentiel agricole mais malgré la mobilisation de l’aide et les chances offerte à la lutte contre la sécheresse après Rio de janeiro, la solution des problèmes alimentaire manque beaucoup aux choix politico-économique des gouvernements. C’est ainsi qu’il faut poser le problème afin que cessent les multiples confluents locaux et que les hommes unis dans l’activités productives, n’aient plus à faire face qu’aux seules forces climatiques.
