À l’approche de l’élection présidentielle prévue le 23 novembre en Guinée Bissau, Fernando Dias Da Costa continue de gagner en visibilité et en influence dans toutes les grandes villes du pays. Sa présence constante sur le terrain, combinée à une stratégie particulièrement maîtrisée, en fait aujourd’hui l’un des candidats les plus observés de la scène politique nationale.
Fernando Dias Da Costa s’impose peu à peu comme l’un des candidats les plus remarqués de la scène politique nationale. Sa progression n’a elle repose sur une présence assidue sur le terrain, une stratégie d’ensemble très rien d’un hasard : réfléchie et une manière de faire de la politique qui mise avant tout sur la proximité réelle avec les citoyens.
Depuis le lancement de sa candidature, il multiplie les déplacements à travers le pays. Chaque étape est l’occasion de rencontrer les communautés, d’écouter leurs besoins et de s’imprégner des réalités sociales et économiques. Cette démarche, simple dans son principe mais rare dans la pratique, lui a permis de se forger l’image d’un candidat de terrain, proche des populations et attentif à leurs préoccupations.
Les tournées dans la région de Oio plus précisément sa capitale Farim ont marqué un tournant dans la perception du public. À Farim, une foule dense l’attendait bien avant son arrivée, dans une ambiance festive mêlant chants, applaudissements et slogans. Cette mobilisation spontanée dans une zone éloignée des grands centres a surpris les observateurs et montré que son influence dépasse largement son cercle initial.
À Farim, l’accueil a été encore plus impressionnant. La grande place de la ville était remplie de résidents venus marquer leur soutien. Pour beaucoup, la venue de Dias Da Costa représentait davantage qu’une simple visite politique : c’était le signe d’un leader qui prend le temps de voir les réalités et de reconnaître la valeur des communautés locales. Le sentiment partagé pouvait se résumer en une phrase souvent entendue : « Il est des nôtres ». Ce lien affectif est devenu l’une des caractéristiques fortes de sa campagne.
Derrière ce succès croissant, la stratégie de Dias Da Costa apparaît extrêmement structurée. Son équipe s’appuie sur des relais locaux actifs et une organisation régionale rigoureuse, ce qui donne à chaque déplacement une efficacité notable. Sa communication numérique, mesurée et pédagogique, renforce cette impression de sérieux, tout en évitant les excès ou les polémiques. Chaque rencontre sur le terrain est également l’occasion d’échanger avec des acteurs de différents secteurs — pêcheurs, agriculteurs, enseignants, artisans, entrepreneurs — ce qui contribue à enrichir et ajuster continuellement son programme.
Dans un pays où la demande de renouvellement politique est de plus en plus forte, Fernando Dias Da Costa se distingue par une vision axée sur l’éthique publique, la justice sociale, la modernisation de l’économie et un leadership débarrassé des calculs traditionnels. Son discours, ferme mais sobre, séduit un nombre croissant de citoyens qui voient en lui une alternative crédible.
Au fil des mobilisations et des rencontres, Dias Da Costa prend de l’ampleur et s’installe durablement dans le paysage politique. Les foules rassemblées à Farim ne sont que les premières manifestations visibles d’un phénomène plus profond : l’émergence d’un candidat qui, grâce à une combinaison de sérieux, de modernité et de proximité, redéfinit progressivement les équilibres de la compétition présidentielle.
